Solidarité Inondations Belgique
En juillet 2021, la Belgique voisine subissait des inondations dramatiques.
Celles-ci coûtèrent la vie à 38 personnes
et mirent en situation d’extrème précarité une partie de la population,
en faisant la catastrophe naturelle la plus meurtrière du pays.
La province de Liège, touchée par les crues de l’Ourthe et de la Meuse fut particulièrement impactée, tant du point de vue humain que matériel.
La MJC Villerupt, forte de la relation affective qu’elle entretien avec la Belgique et ses habitants a souhaité organiser cette vente afin d’en reverser l’intégralité des recettes aux sinistrés de la commune wallonne de Pepinster en province de Liège.
Dix-sept artistes belges et français ont répondu positivement à notre proposition et ont fait don d’une de leurs œuvres pour cette cause.
Merci à eux.
Merci à vous pour votre soutien.
Ci-dessous le lien pour télécharger le catalogue des oeuvres en vente
Ses clichés racontent la sensibilité et l’émotion du moment capté, pour notre plus grand plaisir.
Il est avec celles et ceux qu’il immortalise. C’est cela qui lui permet d’être dans l’intime et de toujours être bien accueilli par ses modèles qui ont compris la délicatesse avec laquelle il leur propose d’être immortalisés.
Le jeudi 15 juillet, de la fenêtre de son appartement, il a immortalisé des voisins qui fendaient l’eau pour sortir de chez eux. Dès qu’il a pu accéder à un sol sec, il a sillonné les rues, retroussé ses manches afin d’aider là où il pouvait être utile. Toujours muni de son appareil il a choisi de rendre hommage au courage et à la force des uns et des autres qui subissaient de plein fouet les conséquences de ces inondations inattendues. Ses clichés racontent et permettent aux personnes traumatisées par ce qu’elles ont vécu, de dire la peur, l’étonnement, la fatigue, les aides, les rencontres et le nécessaire courage de chaque matin pour ne pas se laisser gagner par la tristesse et le pessimisme.
La page Facebook de
Dominique Houcmant | Goldo
« De n’importe quel pays, de n’importe quelle couleur, la musique est un cri qui vient de l’intérieur ».
Ces paroles de Bernard Lavilliers résonnent fort dans le coeur d’Esperanto. Le choix de ce nom n’est pas anodin, puisqu’il désigne le projet fou, cosmopolite, et utopique de quelques rêveurs qui ont, à la fin du XIXe siècle, créé une langue aussi universelle que la musique pour abolir les frontières.
Esperanto, c’est d’abord un duo. Lui, c’est un musicien imprégné de culture latine, reggae et pop. Elle, c’est une chanteuse, musicienne et danseuse qui puise son inspiration dans les spiritualités du monde. Esperanto, c’est donc la symbiose de leurs univers.
En défendant un répertoire composé de standards revisités, mais aussi de quelques morceaux mystiques, engagés ou enivrants dans une dizaine de langues (français, anglais, espagnol, portugais, italien, russe, hindi, arabe, hébreu…), ils espèrent offrir à leur public un moment de voyage, d’évasion et de connexion.
Esperanto, c’est aussi le monde ouvert sur lui même, sur sa richesse, et sa diversité.
Lasu la muzikon de la mondo brili en ni !
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